La France entretient une relation paradoxale avec son industrie touristique : si elle représente depuis plus de 20 ans, l’un des premiers postes excédentaires de notre commerce extérieur, avec un solde positif qui oscille selon les années entre 10 et 12 milliards d’euros, rares sont les hommes politiques à vanter les mérites de cette industrie et à se mobiliser pour la dynamiser.

Nos politiques sont plus prompts à se pencher sur les déboires de notre industrie automobile que sur le potentiel d’amélioration de notre offre touristique. Sans doute parce qu’il est plus avantageux médiatiquement de visiter une usine avec un casque sur la tête et un bleu de travail, plutôt  que de déambuler dans un complexe touristique.

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