Deux discours principaux se font aujourd’hui entendre dans le débat sur la compétitivité. Le premier en appelle à un rétablissement de notre compétitivité coût, par la mise en place d’une « TVA sociale ». Cette vision prend appui sur un constat largement partagé, celui d’un décrochage de nos coûts salariaux face à l’Allemagne durant les années 2000. Pour autant, il serait illusoire de penser qu’une réforme de la fiscalité viendra à elle seule à bout de notre déficit extérieur, tant les enchaînements économiques sont incertains et les effets secondaires nombreux.
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