«Les prix de certains produits alimentaires de première nécessité (lait, pain, sucre, beurre, farine, etc.) feront l’objet d’un encadrement légal», tandis que «l’Etat réglementera les tarifs de l’électricité et du gaz, imposera des tarifs plafonds à tous les opérateurs des transports publics locaux.» Ces lignes audacieuses ne figurent ni parmi les mesures d’urgence d’un pays en guerre ni dans les propositions de Syriza à l’Eurogroupe, mais sur le site du Front national, qui souhaite donc réglementer, entre autres, le prix du pain.

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