La thèse de la « vitre brisée » et la tolérance zéro

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L’idée d’un lien entre petits délits et crimes plus importants a été théorisé en 1982 avec la thèse de la « vitre brisée» : une simple effraction débouche inévitablement sur un délit plus grand, si elle n’est pas immédiatement et sévèrement punie. Cette approche a notamment débouché sur la politique de «tolérance zéro » mise en place à New York dans les années 1980.

  • la thèse célèbre de la « vitre brisée » a été développée en 1982 par J. Wilson et G. Kelling : cliquer ICI

 

  • une étude de Harcourt et Ludwig sur l’application de la thèse de la vite brisée à New York : cliquer ICI

 

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